L’augmentation mammaire est une intervention de chirurgie esthétique qui a fait ses preuves et qui permet d’obtenir un résultat naturel et durable. Si les complications sont rares, le risque de contracture capsulaire est toujours présent. De façon à limiter le risque de formation d’une « coque » ou de rotation de l’implant, le Dr Kron a recours à des prothèses mammaires en polyuréthane.
Qu’est-ce qu’une contracture capsulaire ?
Lorsqu’une prothèse mammaire est placée lors d’un acte de chirurgie mammaire, le corps réagit en produisant une enveloppe autour de la prothèse. Il s’agit d’une réponse naturelle du corps face à un implant « étranger » dans le corps. Cette enveloppe formée par les tissus fibreux du corps est appelée « capsule », « tissu capsulaire » ou « capsule fibreuse ».
Dans la majorité des cas, cette capsule reste mince et n’a pas d’influence sur le résultat esthétique de l’intervention : les seins restent « naturellement » souples et la poitrine harmonieuse. Plus rarement, la capsule se rétracte, s’épaissit et durcit. Les seins sont alors trop fermes et peuvent apparaitre déformés. C’est ce phénomène qu’on appelle contracture capsulaire ou « coque ». On peut parfois y remédier par des traitements anti-inflammatoires ou à l’occasion d’une intervention de chirurgie de reprise. Dans des cas plus rares, un retrait de la prothèse peut s’avérer nécessaire.
Des risques réduits grâce aux implants en polyuréthane
Réduire les risques lors d'une augmentation mammaire avec des prothéses en polyurethaneDes études menées depuis plus de 20 ans ont montré que les risques de complications liés à la formation de la capsule sont drastiquement réduits par l’utilisation de prothèses mammaires en polyuréthane.
La mousse de polyuréthane qui entoure la prothèse permet un processus de cicatrisation actif. À la place de la formation d’une unique capsule qui présente un potentiel de contraction important, la mousse de polyuréthane favorise la formation de nombreuses micro-encapsulations de la mousse, ce qui neutralise le risque de contraction.
Permettant une meilleure adhésion aux tissus, ces prothèses réduisent de façon significative le risque de déplacement ou de rotation de l’implant à la suite de l’intervention. L’adhérence au tissu est majeure et dans l’expérience du Dr Cédric Kron, cela lui a permis de supprimer à ce jour le risque de rotation d’implant, problématique pour les implants anatomiques.
Le Dr Kron participe d’ailleurs à titre d’Expert aux Staffs de formations des chirurgiens hospitalo-universitaires et communique dans les congrès au sujet des augmentations mammaires par implants anatomiques en polyuréthane.
Le Docteur Kron utilise des prothèses mammaires en polyuréthane issues de deux laboratoires reconnus dans le domaine : Silimed et Polytech.